Histoire sans intérêt...

Bon alors voilà, je vous explique, il y a déjà quelques temps maintenant (euh putain bientot 3ans mdr j'y crois pas !) j'avais commencer une histoire. Je vous explique, c'était les vacances d'été, pas les dernières ; celles d'avant. J'étais en pleine période no-life. Et puis aussi en plein trip sims... Et tout autant dans le trip "sims-story", autrement dit, des gens qui écrivent des histoires et qui les publient avec des photos prises dans le jeu des sims. C'est chelou blabla ouais je suis au courant, mais bon, c'était mon trip quoi. Et au fil du temps, ayant imaginé cette histoire, bah je l'ai continuée, recommencé, ré-ajustée et blabla. ça m'a fait un truc qui tiens A PEU PRES LA ROUTE... On va dire que, à force du temps, je trouve le début sans intérêt, nul, et blabla... Bref... Quoiqu'il en soit, ça ne m'a pas empêché de continuer petit à petit l'histoire en question. Et puis, j'avoue que ça m'a aidé un peu à améliorer mon style (même s'il est encore aujourd'hui loin d'être bon). Alors dans un sens, je sais pas, j'ai un peu honte de mon truc, mais dans l'autre, je me dis que vous, vous allez pas vous moquer quand même hein ?!

Bref... ça me semble de plus en plus ridicule... maaaaaaais bon, tant qu'à faire...

Alors voilà, je pensais vous "publiez" chaque semaine un "épisode", après vous me diriez ce que vous en pensez...
Jusqu'à maintenant, j'ai écrit 23 épisode, c'est-à-dire j'ai fini ma "première saison" en quelque sorte, et je viens de commencer la deuxième...

Voilà... Je sais pas trop quoi rajouter, je trouve que ça fait vrmnt ridicule mais bon voilà quoi...

je vous mets déjà le prologue...

EDIT : très important : Ah oui, j'oubliais, c0est un petit peu très trash au début... ça s'améliore que très peu par la suite... uhuuu
(j'ai nettement moins envie de publié là d'un coup ptdr)

Bon je vous met le tout tout début, vous me dites si vous voulez que je mette le reste quoi

-_-'

Elle s’appelle Vanessa, 21 ans, célibataire. Elle habite une petite ville de campagne, avec un jeune homme très courtois. Elle est jeune, jolie, a la vie devant elle et son avenir lui appartient. En bref, elle a beaucoup de chance !
Voilà ce qui peut être dit, non pas sur Vanessa, mais sur son image. Voilà sa vie selon ceux qui ne font que la croiser. Voilà l’antithèse de ce qu’elle est. Sa vie est loin de celle d’une princesse…

... voilà, et ça, c'est ce qu'on appelle un vent, et un gros pour le coup ! -_-'

Haaaan j'avais pas vu que y'avait un nv topic ! Mais c'est une chose révolue, mnt tu vas avoir au moins une lectrice fidèle à ton histoire muahaha ! Dc va falloir envoyer les épisodes, pke là le prologue il est ridicule de courteur (si si ça existe ahem ) alors j'veux le premier épisode ! En plus mnt j'veux voir pk c'est trash au début wahaha !

mdrr ok ok, alors t'auras la fin du prologue... enfin non, le prologue quoi, pcq ça c'était une amorce

Bref... qd j'aurais la paix (pcq là vrmnt pas), j'accepte XD

bon... va falloir etre indulgente ! TRES indulgente... tu promets ? *yeux de chat potté (putain faut que je le trouve ce smile moi tiens !) *...

(oui elle promet, abrège !)

Bon... bah voilà...


Elle s’appelle Vanessa, 21 ans, célibataire. Elle habite une petite ville de campagne, avec un jeune homme très courtois. Elle est jeune, jolie, a la vie devant elle et son avenir lui appartient. En bref, elle a beaucoup de chance !

Voilà ce qui peut être dit, non pas sur Vanessa, mais sur son image. Voilà sa vie selon ceux qui ne font que la croiser. Voilà l’antithèse de ce qu’elle est. Sa vie est loin de celle d’une princesse…

- Réveille-toi petite pute ! cria Mac tout en entrant en trombe dans la chambre de la jeune femme

-Mmmh hum euh quoi ? répondit-elle, encore dans les bras de Morphée. Mais c’est quelle heure ? s’empressa-t-elle d’ajouter en voyant Mac. S…Six heures… mais il n’est que 6 heures. Stp, j’ai vu Maurice hier soir… et tu sais très bien qu’il ne part jamais avant 3 heures du mat’.

- Rien à foutre, y a un client qui va arriver alors ne traîne pas et arrête de discuter.

- Oui, oui, j’me lève.

Elle se reprit à deux fois pour se lever. Elle parvint enfin à tenir sur ses deux jambes. Ne supportant pas le regard de Mac sur son corps à moitié nu, elle enfila la première chose qu’elle avait sous la main. Elle faisait son possible pour se dépêcher ; elle détestait quand Mac la regardait avec cet air de supériorité et de pouvoir ; lui adorait ces moments.

- C’est quoi ton problème, j’ai déjà vu bien plus que ça de toi ! déclara-t-il, plein de cynisme. D’ailleurs, après lui tu n’as plus personne jusqu’à 16h… Donc tu viendras faire un petit tour dans ma chambre…

- D’accord Mac. Mais, j’aurais préféré dormir un peu après ce client. Je suis très fatigué tu sais et…

- J’t’ai dit de pas discuter ! Tu n’es pas faite pour utiliser ton cerveau. De toute façon, t’es stupide. C’est de ton corps dont tu dois user, alors fais le ! En plus, je t’ai, alors je t’utilise. Tu m’appartiens, si je veux te niquer, je le fais et tu n’as rien à dire, expliqua-t-il, un sourire sadique s’amplifiant sur son visage.

- Je vais me doucher, soupira-t-elle

- Mais je m’en fous, tant que tu es prête quand il arrive ! Maintenant tu te dépêche !

- Oui, excuse-moi.

- Ah oui encore un truc : le client m’a demandé la tenue de soubrette.

- Mais tu ne veux pas me dire qui c’est ce fameux client ?

- Tu verras bien. Vas te préparer maintenant, il va bientôt arriver.

Le quotidien de Vanessa était constitué de pervers refoulés et plein aux as, prêts à payer de fortes sommes pour bénéficier de son corps. Ils pouvaient ainsi demander TOUT ce qu’ils voulaient et Vanessa le faisait, Mac était là pour s’en assurer. Elle ne savait pas combien son corps était loué exactement mais avait l’assurance que Mac s’en mettait plein les poches. Cet argent ne lui revenait aucunement ; tout ce dont elle bénéficiait était le gîte et le couvert. Quelques ensembles chics lui étaient offerts, mais elle les détestait. Chacun des éléments faisant partie de sa vie était choisi par Mac, de la décoration de sa chambre, jusqu’à ses sous-vêtements personnels, en passant par sa coiffure. Elle bénéficiait également de toutes sortes de tenues que Mac la forçait à porter : le lapinou, la soubrette, la dominatrice, l’infirmière, l’hôtesse de l’air, l’étudiante, et bien d’autre encore.

aaah voui... j'ajouterai encore un truc...
voilà, avant que mon ordi (fixe, pas celui là un autre) ne soit formater, j'avais créer tout mes persos dans le jeu des sims... mais avec le formatage je les ai perdus (pour la 2 ou 3 ème fois mais bon hein...) dps pas eu le tps/l'envie/le courage ou simplement pas vu la nécessité de les recréer... surtout que je joue plus au sims depuis un putain de bail !

Breeeeef... avant ce formatage, j'ai fait le PREMIER MONTAGE DE TOUTE MA VIE oO, censé représenté la photo du tout tout début...

voilà je vous le met, vous verrez ce que j'imaginais en écrivant "Vanessa" XD

Meuuuuh oui je vais être indulgente, j'suis pas critique littéraire tkt wahaha xD. D'accord en faite l'ammorce c'était une tite feinte pke je croyais que c'était ça le prologue moi ptdrrr. Mais bon ça va alors, tu te rattrape, le vrai prologue a une longueur un peu plus acceptable... mais euh après les chapitres ils st plus longs hein hein hein ?

Bah oui pke là on a à peine commencé que c'est déjà fini, moi j'veux savoir qui est ce fameux client qui veut se taper une soubrette wahaha ! Hum pardon xD.

Ah et oui, c'est ton premier montage seulement !? Bah putain tu gère pr un premier ! Donc voilà la fameuse Vanessa, ah c'est bien ça d'avoir un visage à mettre sur le personnage ^^.

Bah heureusement que t'es pas critique pcq hem j'aurais de belles sueurs froides !! XD
mais bon... ça t'empeche pas d'etre critique hein !!

(au cas ou ya incompréhension : le premier "critique" fait office de nom; le deuxième fait office d'adjectif... donc ! XD)

Bah en fait... on saura jamais qui c'est le mystérieux client c'était pour mettre l'ambiance, mais c'est pas important en fait !
Mmmh... quoique TIENS ! j'viens d'avoir une idée...
mmmh... non non en fait ça marcherait pas mdr ! j'ai déjà trop de personnage, je vais pas en ajouté un ptdr !

Bref... je crois que je peux djà mettre la suite, premier épisode donc !

(Ouais c'est vrai que pouvoir mettre un visage sur un nom c'est cool.. Et j'aimerais avoir pris une photo d'une autre perso (je vous dirait qui quand le temps sera venu, càd ds lgtps XD) avant que mes sims buggent mais... j'ai pas pris !!
surtout que comme c'était censé etre une histoire sims au début (donc avec des photos tout le long), j'ai jamais vrmnt fait de descriptions :/ mais si ça vous perturbe trop, je le ferais hors l'histoire ptdrr bref... merci pour le montage XD!)

Ah oui : quand c'est en ITALIC, c'est qu'elle PENSE, pas qu'elle parle !!

Episode 1



- Non, je ne peux pas faire ça ! Je ne veux pas faire ça ! clamait Vanessa, plus remontée que jamais.

- Ohhh si tu le feras ! Tu n’as pas le choix, lui répondit Mac.

- Et si je refuse ?

- Alors ça ne t’as pas suffit la dernière fois ? Tu veux vraiment que je recommence ? menaça-t-il, narquois.

A ces mots, Vanessa pâlit. La rage fit place à la peur. Elle ne voulait pas que ça recommence. Pas encore…Elle se revoyait ce fameux jour.



- Alors comme ça tu ne m’as pas obéit ! Et tu as cru pouvoir t’en tirer sans que je le découvre ? dit Mac, très calme, mais non pas moins menaçant.

- Non Mac, non. Bien sûr que non ! tenta-t-elle de répondre, tétanisée par la peur.

- TAIS-TOI ! NE ME MENT PAS !

- Mais…

- CHUT !

- Excuse-moi Mac ! finit-elle par déclarer, les larmes aux yeux

- Et tu pense que de simples excuses suffiront à te sauver ? Tu crois vraiment que ça suffira ? TU CROIS VRAIMENT QUE CA SUFFIRA ? Ben non ma petite chérie ! Détrompe-toi tout de suite ! Je vais te passer l’envie de recommencer tu vas voir…

Vanessa sentit le sol se dérober. Etait-ce la peur ou le coup qu’elle venait de recevoir ? Quoiqu’il en soit, elle tomba à terre, le visage ensanglanté. Mais Mac ne s’en contenta pas. Il voulait qu’elle n’oublie jamais ce qu’il pouvait lui faire. Il voulait qu’elle n’ose même pas penser à recommencer. Il voulait qu’elle ait peur. Il voulait… la dominer !

Il la malmena comme jamais. Chaque coup de pied le défoulait un peu plus, chaque fois qu’il la jetait contre le mur, il se sentait un peu plus fort. Le calvaire ne s’arrêta pas là pour Vanessa. Après s’être acharné sur elle, il la lança sur le lit. Elle n’était qu’à moitié consciente. Elle perdait beaucoup de sang, beaucoup trop. Mais Mac n’eut pas pitié, bien au contraire. Il la déshabilla furieusement. Elle était là, inconsciente, en sang, cassée, vulnérable… et en train de se faire violé !

Vanessa ne pouvait reconstituer complètement la scène. Peut être avait-elle reçu trop de coups, peut être avait-elle préféré enfouir ce traumatisme trop profondément pour le retrouver. Ce qu’elle ne put jamais oublier, par contre, c’était son réveil, nue, sur le lit de Mac ; la douleur, partout, jusqu’au plus petit recoin de son être, de son âme ; et cet homme. Cet homme que Mac semblait connaître. Cet homme qu’elle n’avait jamais vu. Cet homme qui la dévisageait. Cet homme qui ne faisait pas cas de son état. Elle était gênée, plus que jamais, dénudée, frêle, sous leurs regards. Elle ne pouvait bouger, ni même parler, elle n’en avait pas la force. Puis l’inconnu partit de son champ de vision. Elle ne parvint même pas à levé la tête pour le suivre du regard. Elle resta abandonnée dans la chambre de son bourreau, étendue sur le lit. Elle aurait préféré mourir, la souffrance était insupportable. Elle pleurait, pleurait, mais aucune larme ne coulait. Elle était seule, son corps détruit, son âme détruite, son cœur détruit et son bonheur détruit. Elle souffrait. Elle était seule. Elle souffrait. Elle était seule…

Mais très vite Mac la ramena à la réalité. Une réalité pourtant si semblable à ses souvenirs.

- Prépare-toi, petite chérie, ça va faire mal, dit-il tout en levant le poing

- Petite chérie ! Et ses yeux ! Pas ces mots… la dernière fois… Ses yeux injectés de sang… Petite chérie, pensa-t-elle à toute vitesse. Non Mac, je t’en prie, ne fais pas ça ! supplia-t-elle

- C’est toi qui m’y oblige !

- NON MAC !! hurla-t-elle, sortant ses trips. C’est bon, c’est bon je vais le faire, ajouta-t-elle dans un souffle

- Je préfère ça ! De toute façon tu sais aussi bien que moi que je suis au courant de tout. Si tu ne le fais pas, tu le payeras. Et alors la dernière fois ne serait que…une mise en bouche ! finit-il en riant.

- Oui, excuse-moi, je ne voulais pas te mettre en colère ; je te promets que je le ferai… Mais ne me touche pas, je t’en prie.

Mac afficha alors un sourire satisfait. Une pointe de sadisme se lisait dans ses yeux. Elle était sous sa coupe ! Cette idée l’exaltait. Mais ce n’était pas suffisant pour lui, il devait également l’humilier. Il lui tourna le dos et partit s’asseoir sur le canapé, prenant tout son temps. Il prit place en douceur, faisant durer la situation. Il voulait que Vanessa scrute chacun de ses gestes. Il alluma la télévision. Vanessa prenait patience, debout, au milieu du salon, attendant que cet homme veuille bien lui demander de disposer. Quelques minutes passèrent. Le sourire de Mac ne s’était toujours pas atténué. Puis, il brisa enfin ce silence.

- Qu’est-ce que tu fais là ? T’attends quoi exactement ? Je veux regarder ma télévision tranquille, alors dégages ! dit-il sans décoller les yeux de l’écran

Vanessa ne prit même pas la peine de répondre. Elle se retourna et se dirigea vers sa chambre. Plus elle s’approchait de sa porte, plus elle accélérait le pas. Elle finit par courir. A peine le seuil franchit, elle éclata en sanglots. Trop, s’en était trop ! Ses remarques, ses coups, Vanessa ne pouvait en supporter d’avantage. Pourtant elle n’avait pas le choix…

- Qu’aurais-je pu faire d’autre ? Il me l’aurait fais regretter de toute façon. Et maintenant, il faut que je tienne parole. Je te déteste Mac, si tu savais à quel point je te haïs ! J’aimerais que tu meurs, comme ça je n’aurais plus à faire toutes ces choses pour toi… Te faire mourir, si seulement je pouvais Mac, si seulement…Mais comment ? Qu’est-ce que je ferais après. Je ne peux pas survivre sans toi… Je ne peux pas survivre sans… souffrir.

Chacun de ces mots résonnant dans sa tête ne faisait qu’amplifier sa douleur.

Aaaaah y'a l'premier épisode ! Bon c'est pas du tt du tt joyeux n'empêche que... j'veux savoir la suiteuuuh lool ! Bah ouais, c'est que ça titille la curiosité tt ça, que va-t-il se passer ! Suspens xD

M'enfin j'aime bien pke y'a pas de descriptions de trois pieds de long et que y'a qd même pas mal de dialogues dc c'est cool pke c'est vivant ! Pis j'trouve que comme t'écris on ressent bien la détresse de Vanessa, enfin on "s'identifie" bien aux persos si j'puis dire, on capte bien leurs sentiments quoi !

Ahem oui bref, j'peux être critique mais jsuis loin d'être une critique wahaha ! Bah si c'est trop perturbant de pas avoir de description pr certains persos j'te demanderai cmt ils st pr toi lool !

Mdr bah... (oui je vais tenir !)... faudra attendre la semaine prochaine ?!... !! XD

Mais merciiiii c'est zentil que t'aime bien mdr
et dire qu'on ressens la détresse de Vanessa... c'est... piire cool mdr (enfin on s'entend ! genre ça fait psychopathe : "vous sentez comme elle souffre ?! mouahaha OUI VICTOIRE !! " XD)

Non mais sérieux, mon seul souci c'est que par la suite, y'a des description de 3 pieds de longs ... mais c'est des descriptions que j'ai pris un pied terrible à écrire mdr ! Enfin tu verras, je pense que celle à laquelle je pense, tu vas aimé aussi mdrrr... Mais mais mais je n'en dirais pas plus

Sinon... ouais c'est pas joyeux joyeux je vous avais averti mdr ! Non mais je sais que des fois, ça tombe un peu dans la "pathos" comme j'écris mais je sais pas faire autrement ! Enfin dans cette histire en tout cas X)

M'enfin bref, soit critique bien que tu ne soit pas critique ! XD j'aime bien quand t'es critique, ça m'est utile aussi XD

Voilààà par acquis de conscience, vu que ça fait une semaine depuis le dernier n'épisode, bah voilou la suiiite...

Episode 2



- Il arrive… Je vous laisse les « amoureux », se moqua Mac. Et n’oublie pas ta promesse ! termina-t-il, beaucoup plus sérieux

Vanessa entendit un claquement de porte. Ca aurait du la soulager, la libérer, et pourtant c’était tout le contraire. Elle savait pertinemment que ce claquement de porte signifiait l’arrivée imminente de son client, et donc le début de son cauchemar. Et elle ne s’était pas trompée. A peine quelques secondes plus tard, quelqu'un tambourina à la porte.

Elle se rua vers la porte d’entrée, pensant que plus vite ils commenceraient, plus vite ça serait terminé. Par le vitrail de la porte, Vanessa aperçu le visage qu’elle redoutait tant : celui de Robert Nart. A ce moment précis, elle marqua un temps, elle croyait accuser le coup mieux que ça. Mais à la vision de Robert, elle se rendit compte qu’il n’en n’était rien ! Maintenant, elle devait pousser cette porte, mais elle n’en avait pas envie. Et de nouveaux coups retentir. Elle inspira profondément. Elle n’eut pas le temps de poser sa main sur la poignée que Robert commençait à l’exaspéré.

- Qu’est-ce que tu glandes, tu l’ouvre cette foutue porte oui ou merde ? beugla Robert derrière la porte.

Vanessa tourna lentement la poignée.

- Bien sûr, pourquoi laisser une barrière entre nous deux ? répliqua Vanessa, sur un ton faussement amoureux. Connard !

La porte s’ouvrit sur un homme légèrement vouté. Vanessa, elle, prit son air le plus coquin et le rejoignit faisant balancer son bassin sur le rythme de ses talons hauts. Elle enlaça ses bras autour de son cou gras et transpirant. Elle approcha son visage et l’embrassa avec une certaine répulsion qu’il ne remarqua pas, trop occupé à balader ses mains boudinées sur ce corps fragile. Robert n’était pas du genre à se contenter d’un baiser, ni à prendre son temps. Tous ce qu’il désirait maintenant c’était rentré, bien qu’il sache que personne ne les verraient ici. Il voulait juste prendre son pied et partir ; il n’avait aucun scrupule, ni gêne. Il voulait Vanessa, il l’achetait, comme tout le reste, sans se soucier des dégâts.

-Bon on rentre, je paye pas pour rien quand même !

- Oui tu as raison, rentrons !

Elle entra la première. Lui la suivait de près, pouvant ainsi admirer ses formes généreuses. Encore une fois, il manquait cruellement de galanterie.

En entrant da sa chambre, Vanessa prit place dans son sofa. A peine assise, une secousse la fit sursauter : Robert venait de se laisser tomber sur le canapé. Il resta au milieu, sans rien faire, attendant d’avoir ce qui lui était dû. Elle se colla alors à lui, et appuya sa joue contre cette épaule collante. L’odeur âcre de la transpiration la prit à la gorge. Son premier reflexe fut de s’écarter, puis réalisant ce qu’elle venait de faire, elle dut trouver un prétexte.

- Et que dirais tu d’une petite coupe de champagne ? essaya Vanessa.

- Si j’dois pas l’acheter, alors envoie.

Vanessa remplit deux flûtes. Elle lui en tendit une avec un sourire langoureux, puis fit mine de porter un toast. Elle essayait à tout prix de repousser l’échéance. Mais Robert ne fit pas cas. Elle tenta donc autre chose.

- Tu ne voudrais pas qu’on discute un peu aujourd’hui ? Ca peut être symp…

- Chuis pas venu ici pour parler ! la coupa-t-il

-Le lapin c’est bien ce que tu avais demandé, n’est-ce pas ? se résigna-t-elle

- Oh que oui ! Et oh que je regrette pas ! dit-il, la dévisageant de haut en bas.

Vanessa se leva. Robert fit de même, mais resta immobile au milieu de la pièce. Décidemment, il fallait tout faire pour lui ! Vanessa rapprocha donc son corps du sien. Elle faisait tout son possible pour ne pas pleurer, mais quand elle sentit les bras de cet homme autour de sa taille, des larmes coulèrent le long de ses joues. Une fois de plus, Robert ne remarqua rien. Puis celui-ci tenta de retirer son marcel, agita ses bras dans tout les sens. C’en était tellement ridicule que quiconque aurait attrapé un fou rire. Mais la situation de Vanessa était bien trop grave pour qu’elle n’y pense. Après s’être enfin débarrassé de son marcel, il s’attaqua à sa ceinture. Pendant qu’il se battait avec ses vêtements, Vanessa le fixait, son regard était rempli de haine, de colère, de rage, mais aussi de pitié. Une pitié qui n’a rien à voir avec la compassion, non ! C’était plutôt une pitié tenant du mépris. Elle le voyait se débattre, sauter, gesticuler dans tous les sens, et eut cette sensation de dédain à l’égard de Robert. Après quelques minutes d’intense combat, il se retrouva en slip léopard ; sa graisse débordante ondulait sous l’effet de son essoufflement. Rien dans les actes de cet homme ne pouvait mettre un soupçon de romantisme dans cette pièce. Entrainé par Vanessa, il se dirigera vers le lit. Le moment fatidique arrivait !

- J’pense que Mac t’as dit c’que je voulais aujourd’hui, demanda Robert

- Oui, répondit la concernée.

- Bon alors t’attend quoi là ?

Vanessa n’en croyait pas ses oreilles ! Comment avait-il l’audace de dire une chose pareille ? Depuis le début, il ne faisait que lui rendre les choses encore plus difficiles ! Elle décida de ne pas répondre et de faire ce pourquoi Mac la destinait. Mais ce jour là, elle ne parvint pas à faire le vide dans son esprit ! Chacun des coups de reins de Robert l’enfonçait un peu plus dans le désespoir. Elle ne pouvait plus le supporter !

Wahaha tu me fais trop rire ! Enfin euh attention pas ds l'histore pke l'histoire me fait absolument pas rire, en même tps c'est pas le but ptdrr, non j'parle ds ta réponse à mon précédent message, que tu dis que c'est cool si on sent la détresse de Vanessa... mais sans le côté psychopathe hein wahaha !

Mais non mais c'est vrai jsais, j'trouve que tu fais bien passer les émotions ! Mais mnt j'veux savoir moi, c'est quoi la longue description qui va surement me plaire ? Et elle est quaaaand ? Dis moi dis moi dis moiiiii wahaha !

Non mais franchement ptet que ça me gènerait pas si y'a des longues descriptions pke genre là même si pr l'instant elles st courtes, j'veux dire si c'est pareil, c'est très imagé qd même dc c'est pas chiant et on s'ennuie pas ^^. Non mais c'est vrai genre Bébert, rien qu'à la description le mec il te dégoute quoi ! C'est fort qd même lool !

Mnt... manque plus que la suite uhuuu.

Mdrr bah oui, qu'on se comprenne quand même ptdrrr

Bah en fait, j'avais relu la description que je pensais pire longue pour revoir et... elle est pire courte ptdrrr ! mais quand je l'aurais postée, je préciserai wahah

Sinon... Bébert ?! PTDR ! Moi j'ai mis "Bob" comme surnom, ça fait plus américain mais en fait, je préfère Bébert !!!!!!!! Je peux le prendre ??

Mdrr m'enfin merci c'était le but qu'il soit vrmnt dégueu, ptetre mm exagérément dégueu (quoique les gars comme ça, ça existe quoi ptdrrr)

Bref... bon bah la suite alors !

Episode 3



Après quelques minutes, Robert s’était déjà assoupi. Oui, ses rendez-vous avec Robert ne duraient jamais longtemps : il ne tient pas vraiment la distance. Mais pourtant ces quelques minutes semblaient toujours durer des heures pour Vanessa. Elle se leva donc et se dirigea vers l’un des miroirs en face de son lit.

- Et voilà, ce gros lourdot s’est endormi… Comme d’habitude ! Je ne peux plus supporter son torse velu, pas plus que ce visage rabougri et ce corps disgracieux ; et que dire de ces tenues ? Comment pourrait-ce être pire ? se dit intérieurement Vanessa, tout en regardant respectivement son propre reflet et celui de Robert dans le miroir. J’en ai marre ; putain de vie, laisse-moi en paix.

Et puis, il faut que je prenne mon destin en main. Cette fois, c’en est trop. Dès demain, tu ne me reverras plus Mac ! Je ne sais pas où j’irai, mais ça sera loin de toi ! Peu m’importe si un jour tu me retrouve, tue moi si tu veux, mais jusque là je n’aurais plus à te supporter, toi et ces vicieux.

Avant de partir, il fallait qu’elle aille chercher des vêtements un peu plus discrets, puis elle partirait, « sans se retourner, ne pas regretter… ». La seule solution était qu’elle s’en aille avant que Robert ne se réveille ou que Mac ne rentre. C’était maintenant ou jamais !

Vanessa n’hésita pas : elle se dirigea vers la chambre de Mac à la recherche d’argent, fit les poches de son client toujours endormi, mit l’ensemble le moins fantasmagorique qu’elle possédait et appela un taxi grâce au téléphone fixe de sa chambre. Tout ceci s’était fait à une vitesse folle !

Finalement, elle prit son sac à main, dans lequel elle plaça soigneusement l’argent qu’elle avait réussit à réunir. En passant le pas de sa porte de chambre, elle jeta un dernier regard vers Robert, vers son futur passé. Tant de mauvais souvenir lui revinrent tout à coup.



Ce n’était qu’une adolescente, naïve et innocente. Aussi loin qu’elle se souvenait, elle avait toujours habité là avec cet homme. Elle ne savait pas vraiment qui il était ; jusque là, elle l’avait considérer comme un grand frère. Et puis, elle fêta ses 12 ans ; elle se vit offrir un voyage de plusieurs heure, une nouvelle maison et découvrit cette chambre, sa chambre, rouge et noire. Pendant quelques jours, elle se demanda pourquoi il y avait un lit double. Mais ses questions trouvèrent rapidement des réponses, avec la visite d’un homme, un inconnu qui disait s’appeler Robert. C’était tout ce qu’elle savait de lui à ce moment là. Par la suite, elle apprit qu’il était riche, très, très riche. Sa fortune lui venait de l’unique choix judicieux qu’il ait pris dans sa vie : les bons numéros du loto ; il avait décroché la super cagnotte et depuis avait oublié les notions même de travail, de respect et de compassion- quoiqu’il ne les ait jamais eues.

Quand il débarqua dans sa chambre, elle ne savait toujours pas ce qui l’attendait. Robert, avec son tact habituel, lui montra avant qu’elle n’ait eut le temps de comprendre. C’était la première fois qu’on lui faisait ce genre de chose. Le lundi d’après elle revit cet être répugnant. Bien vite, il y eut Mac, puis d’autres hommes. Robert ne manqua aucun lundi depuis cette première rencontre, il y a 9 ans. Chaque lundi, Vanessa espérait qu’il ne vienne pas, et chaque lundi, elle était déçue !



Un coup de klaxon la ramena bien vite à la réalité. Trois minutes de plus, et Mac aurait pu se défouler sur cette jeune femme.

Elle sortit donc en toute hâte, et prit place dans le taxi. Elle n’accorda pas de temps à attacher sa ceinture, regardant avec insistance derrière elle, vérifiant que Mac ne la voit pas s’enfuir.

- J’vais où mam’selle ? demanda le chauffeur.

- Loin d’ici ! répondit Vanessa, ne se retournant toujours pas.

- Haha ! Oui mais encore ?

- Ecoutez démarrez et je vous dirai après… dit-elle, se retournant finalement vers son interlocuteur. DEMARREZ J’AI DIT !

- Oui, oui, c’est bon, j’ai compris… Mais je sais toujours pas où aller, marmonna-t-il

Il tourna la clé de contact et la voiture s’éloigna enfin.

- Bon, quand vous aurez décidez vous me direz, en attendant le compteur tourne !

- Vous vous éloignez d’ici et ne vous faîtes pas de soucis, je vous tiendrai au courant.

Bon j'vais pas tarder là pke j'm'endors un peu bcp sur mon ordi mais la prochaine fois je lis la suite, pke là j'vais comprendre qu'un sur deux dc c'est pas la peine wahaha !

Ca y est j'ai lu la suite !

Alors déjà, oui tu peux prendre Bébert wahaha !

Et sinon... sadique ! Je veux plus (ptite cochonne mdr !), c'est quoi ces épisodes tout rikikis franchement !? Nan nan, j'veux savoir où elle va attérir, ce qui va se produire ! La suite la suite wahaha !

Episode 4



Cela faisait bientôt 10 minutes que le taxi roulait, tout droit, puis à droite, et pourquoi pas à gauche… Seul le bruit du moteur retentissait dans le taxi. Vanessa se laissait balancer par les secousses de la route, les yeux dans le vide. C’est à peine si elle remarquait le paysage. Tout à coup, son regard s’illumina.

- Mais bien sûr, je sais ! s’exclama-t-elle en souriant

- Quoi ? interrogea le chauffeur, interloqué.

- J’ai l’adresse qu’il vous faut, souffla-t-elle à son oreille

- Ben c’est pas trop tôt… Alors ?

- 742 Evergreen Terrace, s’enthousiasma-t-elle.

>> Vous reconnaissez l’adresse ?

Et Vanessa se laissa retomber dans le siège moelleux du taxi. Son sourire ne s’était toujours pas effacé. Elle recommença alors à se perdre dans ses pensées.

Quinze minutes passèrent.

- On y est ! fit le chauffeur en freinant.

- Merci, attendez-moi ici, je reviens dans quelques minutes.

- Ad’ taleur

Elle descendit du taxi et se dirigea avec assurance vers la porte d’entrée. Elle actionna la poignée, qui n’opposa aucune résistance.

- Et voilà, ce con n’a pas fermé sa porte ; il avait sûrement l’esprit ailleurs… Quelque part où il ferait de ma vie un enfer ! se lamenta intérieurement Vanessa

Elle eut alors un moment d’hésitation. Son estomac se noua, et son cœur commença à accélérer. Elle connaissait bien ces symptômes, c’était ceux de « l’après-client » ! Elles les avaient toujours appelés comme ça, mais elle se rendit compte que ce n’était rien d’autre que la culpabilité.

- Mais déconne pas Vanessa, il y a rien de mal à ce faire justice soi-même ! Mais oui, après tout ce que Robert m’a fait, je peux bien me dédommager toute seule.

Elle entra, n’écoutant pas la petite voix qui disait de ne pas franchir le pas de cette porte.

- Ce que ça peut être moche chez lui ! Non mais regardez moi cette moquette rose avec ces murs vert ! Beurk… les deux choses séparées sont déjà très moches, mais quand on les réunit ça dépasse tous ce que j’ai pu voir au niveau laideur ; même le gars qui y habite est plus beau… enfin je crois, ne put-elle s’empêcher de penser.

Bref, où est-ce qu’il a bien pu foutre son fric lui ?

Elle marqua un temps, ayant à nouveau une hésitation.

- Mais non, je ne fais rien de mal… Et puis, je ne prendrai qu’un peu d’argent… Enfin ce que représente un peu d’argent sur 10 millions. De toute façon, il ne va même pas le remarquer. Et après tout ce qu’il m’a fait, j’ai bien le droit de lui prendre un peu de son blé !

Donc maintenant il faut que je trouve sa petite cachette secrète !

Elle parcourut toute la maison, ou presque, de long en large, pour enfin trouver le gros lot… C’est le cas de le dire : elle avait mis la main sur plus de 2 millions ! Et bien sûr, Robert n’avait pas trouvé une meilleure cachette que son piano !

- Non mais faut le faire, cacher des milliers dans un piano !!! Rah, il est encore plus con que je ne le pensais.

Elle se servit généreusement, ignorant cette voix intérieure qui lui disait de ne pas y toucher ! Après avoir placé cette coquette somme dans son sac à main, elle sortit aussi calmement qu’elle était entrée. Avec le sourire aux lèvres, elle reprit place dans le taxi.

- Faut que je trouve une tenue plus soft moi. Et j’ai besoin d’une bonne teinture. Déjà que la coupe fait garce. Amenez-moi au supermarché le plus proche svp.

- Pas de problème mam’selle.

Et le taxi s’éloigna, avec lui Vanessa, qui s’imaginait laisser à jamais son passé derrière elle. Malheureusement, chez Robert c’était un pauvre être, aussi désespéré qu’elle, enfermé dans sa cage et n’ayant de cesse de tourner attendant que quelqu’un le libère qu’elle abandonnait. Pourtant Vanessa était déjà bien loin, dans son taxi, ne pouvant s’arrêter de penser.

- Pourvu que Mac ne me retrouve pas. Les chances sont grandement diminuées en changeant de look… s’angoissait-elle

Elle continua à penser, s’inquiéter, culpabiliser, se réjouir, déculpabiliser tout le voyage.

- On y est, dit une fois de plus le chauffeur en arrêtant le taxi. Puis ne la voyant pas réagir, haussa le ton. Oh oh mam’selle !

- Oui pardon, j’étais perdue dans mes pensées… Vous disiez ?

- On - y - est, articula-t-il mot à mot.

- Ah… Euh… Oui…

Elle descendit du taxi et lui tendit un billet

- Merci, tenez et gardez la monnaie.

- Merci mam’selle. Bonne fin de journée.

Le taxi s’éloigna.

Vanessa se retrouva face à ce tout petit supermarché. Elle entra et se dirigea immédiatement dans le rayon vêtement, assez simple à trouver, même en ne connaissant pas ce magasin. Elle chercha l’ensemble le plus simple qu’elle puisse trouver. Elle n’eut pas trop de peine à trouver son bonheur dans ce commerce de campagne. Ça la changeait des tenues que Mac l’obligeait à porter ! Après avoir payé, elle se dirigea vers les toilettes. Une fois arrivée, elle commença par se changer, laissant sa jupe dans la cabine des toilette en question- peut être fera-t-elle le bonheur de la suivante. Ensuite, elle prit place devant l’un des miroirs. Elle commença par attacher ses cheveux en tresse, rien de plus discret, puis elle allégea son maquillage.

- Hey, ça change ! Bon, il me faudrait aussi une bonne teinture et une nouvelle coupe, mais je vais attendre d’être… où ? C’est vrai ça, où je vais aller ? Mais t’es vraiment conne Vanessa, tu te casse d’ici et c’est tout ! Ouais, mais j’ai nulle part où aller moi. On verra bien… Advienne que pourra !

Maintenant, il faudrait peut-être que j’arrête de me parler à moi-même sinon je vais passer pour une folle. Je vais appeler un taxi, c’est mieux !

Quelques minutes plus tard, un taxi disparaissait à nouveau, et avec lui Vanessa.

Les minutes passèrent et Vanessa avait beau se triturer l’esprit, elle ne savait pas exactement où aller. Elle prit donc une décision pour le moins vague.

- Il vaut mieux que je parte très loin. Oui ! Mac ne pourra pas me trouver à de centaines de kilomètres d’ici ! Excusez-moi ?

- Oui ?

- J’aimerai savoir jusqu’à quelle distance vous pouvez m’amener.

- Vous m’avez dit de « rejoindre la mégapole la plus proche » ? C’est à 50 km d’ici, si je ne pouvais pas vous y amenez vous seriez déjà au courant !

- Oui, bien sur ma question était bête, excusez-moi. Il a raison, je vais jusqu’à la « mégapole la plus proche », là-bas je prendrais une autre compagnie de taxi qui me conduira à la ville suivante et ainsi de suite jusqu’à la tombée e la nuit.

Vers 22h, elle s’arrêta dans une ville relativement petite, à environ 700km de Mac. Malgré l’heure tardive, elle réussit à trouver un petit hôtel. Rien de tape à l’œil, il y avait un lit, des draps propres et une douche. C’était suffisant pour Vanessa !

Pas de contraintes, pas de peur, pas de Mac : ici elle était libre et comptait bien en profiter !

Elle commença par prendre une douche, qu’elle apprécia comme jamais. Pour la première fois, elle eut l’impression d’être lavée de toute la crasse qui empoisonnait son quotidien. Ensuite, remettant les seuls sous-vêtements qu’elle avait à disposition, elle se dirigea vers le lit. Elle s’allongea sur ce duvet, pas rouge, ni noir, sans cœur… Tout simplement blanc !

- Je crois que je vais rester ici quelque temps. C’est pas mal, faut avouer !

Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire des mes journées ; je ne peux pas trouver de boulot, Mac ne m’a jamais envoyée à l’école. Je devrais peut-être retourner chez lui, il est encore temps, pensa-t-elle, puis prenant conscience de son idée, elle se reprit. Tu rigole ma petite ! Je ne veux pas recommencer tout ça. ! Je préfère mourir que de… Non, je ne veux pas repenser à tout ça. Il faut que j’oublie.

Maintenant, dodo, je verrais tout ça demain. J’espère qu’ils ont un parc par ici, je passerais bien la journée là-bas moi. Quand je pense que je rêvais de partir et que maintenant je ne sais même pas quoi faire, je ne…

Elle ne put finir sa pensée. Ses paupières se fermèrent doucement, la plongeant ainsi dans un profond sommeil.

PS: ... heureusement que j'ai mon disque dur externe branché hein, pour une fois ^^
(enfin heureusement... on s'entend hein)

PS' :... oh la mise en forme ne s'est pas fait automatiquement... Je vsis essayer de recommencer... Sinon, bah sorry quoi ^^'

J'avoue j'ai du demander à google pour l'adresse... et wahaha quand j'ai vu xD (han dire que je n'avais jamais remarquer qu'il y avait 42 dans leur adresse !)

Bref, oui heureusement que tu avais ton disque externe de branché, car je voulais la suite ! Et je réitère ma demande : je veux la suiteuh !

Wahaha c'est vrai que y'a 42 dans leur adresse... J'avais pas remarqué non plus XD

Bref... oui mai là j'ai pas mon disque dur branché wahaha
Mais quand je l'ai, je te mets la suite... Mais bientot, je vais etre à court hein !! wahaha

voilà, mtn j'ai mon disque dur branché ^^
donc euh... ça fait le 5...

... mouahaha oui le 5 wahaha
Alors celui-là est plutot très sadique je trouve !! wahaha BREF !

Here we go XD